Le turc de Van, également appelé chat du lac de Van, est une race de chat originaire de la région du lac de Van, située dans le haut-plateau arménien au sud-est de la Turquie. Ce chat de grande taille est caractérisé par sa robe à poils mi-longs.
Les Origines :
Les zones entourant les pentes de l’Ararat et du lac Van, qui vont au sud jusqu’à l’Iran et la Syrie, à l’est jusqu’à l’Azerbaïdjan et le Bakhtiari et au nord jusqu’à l'Arménie, forment un écosystème difficile d’accès, idéal pour une diffusion capillaire de cette race, originale et autochtone.
Ses origines sont très anciennes ; on a ainsi retrouvé certains écus, remontant à la période de l’occupation romaine de l’Arménie (75-387 apr. J.-C.), qui représentent des chats à la robe claire et au poil mi-long, pourvus d’une queue sombre, en anneaux.
En 1955, Laura Lushington ramena quelques exemplaires en Grande-Bretagne et améliora les caractéristiques typiques de cette race, reconnue officiellement entre la fin des années soixante et le début des années soixante-dix.
Le chat Turkish Van est un chat de taille moyenne, sa tête est un triangle écrasé, aussi grande et large que longue.
Son museau est arrondi, son menton massif ; les joues sont proéminentes et le nez est convexe avec une courbe marquée vers le bas : c’est un « nez romain ».
Les oreilles sont grandes, ouvertes à la base et placées haut sur la tête ; elles sont légèrement orientées soit vers le bas, soit vers l’extérieur et d’une longueur égale à la distance qui les sépare.
Les yeux, expressifs et grands, sont inclinés et en forme de noyau de pêche ; ils sont le plus souvent couleur ambre, mais ils peuvent être aussi bleus ou impairs.
Le corps est grand, long et massif, avec une cage thoracique ronde ; les épaules sont aussi larges que la tête et la poitrine ample s’affine jusqu’à l’abdomen, fort et compact. La musculature est très développée et l’ossature moyenne. Les pattes sont de longueur et d’ossature moyennes mais pourvues d’une musculature solide ; les postérieures sont légèrement plus longues que les antérieures. Les pieds sont petits et ronds avec des touffes de poil interdigital.
La queue est de longueur moyenne comparée au corps, avec un poil en brosse ou en plumage, privé de taches blanches ; chez les variétés tigrées, on retrouve les typiques anneaux plus sombres et sa couleur est plus foncée sur la partie supérieure que sur la partie inférieure. Le poil est mi-long, doux, fin, avec un sous-poil non laineux, imperméable et légèrement détaché du corps.
Les couleurs :
Le chat Turkish Van est un chat bicolore dont la robe est toujours blanc plâtre très pur, sans aucune nuance jaunâtre, alors que la couleur contrastante est limitée à la queue et à la tête, où le dessin caractéristique est donné par deux « marques » colorées qui se terminent sur la zone au-dessus des yeux et ne s’étendent pas au-delà des oreilles.
Quelques petites taches sur la robe sont tolérées, même s’il serait préférable qu’il n’y en ait pas. Les couleurs traditionnelles des « marques » sur la tête et la queue sont le rouge ou le crème, mais de nos jours, on trouve aussi des Turkish Van dont la queue porte des marques blue, blue cream et tortie.
Le caractère :
Le chat Turkish Van est un chat très vif qui conserve un côté sauvage. Il adore s’amuser, jouer et aller découvrir des choses toujours nouvelles et stimulantes.
Il adore son indépendance mais ne dédaigne pas les câlins et se montre affectueux au point de devenir parfois un peu jaloux. Il a une capacité d’adaptation exceptionnelle mais il est plutôt égocentrique.
Les soins :
Le chat Turkish Van ne demande aucun soin particulier car l’absence de souspoil rend très simple le soin de sa robe ; de plus, sa grande résistance aux changements thermiques et sa robustesse en font un chat fort et très sain.
Source : Wamiz.com
Mona est une petite chatte que j'ai déjà présenté par le passé. Et bien cette année 2017, mademoiselle s'est échappée plusieurs fois de la maison et du coup elle a attrapé des puces (les chattes sont pourtant traité tous les mois), le traitement en animalerie n'a pas été suffisant. 
Pour Ankara, l'année fut très difficile. C'est une épagneul breton de maintenant 12 ans qui n'avait jamais été stérilisée. Elle a attrapé une infection utérine début mai 2017, elle vomissait ne mangeait plus.
Le caractère :
